Sur le bord de ma fenêtre, je contemple le ciel qui berce qu'une étoile/
Le sol du garage est salle, j'attend qu'les anges pleurent pour qu'ils nettoient/
Plusieurs chose me viennent en tête, dois-je vraiment en tenir compte/
Je partage mon incompréhension qui me fera surment passer pour un con/
Un rêve n'est que superficielle, une idée qui sort de nos têtes/
Ca nous propulse dans notre univers, sans vraiment savoir la conséquence de nos dettes/
Restons sur nos gardes, car le mauvais temps nous guette, la pluie est proche/
Personne ne sort comme si on était en guerre mais pas pour le propriétaire d'une porche/
Plus personne part en vacances, alors on imagine qu'on se téléporte/
Plus l'temps d'montrer du doigt tel est tel porc et d'ton entourage quel est tel pote/
La crise frappe un bon coup, tu le sens quand chipote ton porte monnaie/
Et ton envis de partir s'agrandit et devient de plus large que mon nez/
Pour sa que je ne cherche plus a savoir, ni pourquoi ou bien voir comment/
Tout ce que je sais, c'est que pour ce pays, je hais tout ceux qui commande/
Sur le bord de ma fenêtre, j'suis tenté par trébucher… D'ailleurs il n'est pas trop tard/
Mon cœur n'est qu'Alaska, Ma tête est Flamme, Mon envies est meurtre… Bref, tout un basard…