voici deux textes pour poser à l'audio.
une parti de l'un deux à déja été posé : http://www.zshare.net/audio/62055989a48dea3a/
merci de votrre lecture et laisser un petit message.
bonne route
On me crachera dessus à trop écrire sur le shit
Je ne cache pas que c’est la dopamine qui m’anime
Un gosse qui se couche tard, au quotidien se lève tôt
Rattrape ses rêves, comble le retard par le bédot
Rien ne dure, le temps est la seule cure
Les serpents noirs n’amorce pas la piqure
Aux yeux de mes parents, un môme fainéant
Une prose dérangeante pour un passe-temps gênant
Les gens forgent des images, créaient le clivage
Croche patte inconscient, dans le sens du virage
J’aime la vie, ces envies et ces soucis
Le temps défile parfois j’en ai envie de courir
Si j’écoutais les autres, ça ferait longtemps que je serai en déprime
Si je gache ma vie, je tache le tout d’au moins quelques rimes
Si la frime prime sur l’abime, je passerai par en haut
Voler les pieds cloués me permet de préserver mes idéaux
Si je regard souvent vers le ciel, c’est que j’ai rien trouvé de plus beau
Un petit coté rêveur ; étiqueté nonchalant depuis de préau
L’artifice, une lueur au coin de l’œil dopé de remords
Plus pratique d’aspirer l’éphémère, dans ce monde peu s’en sorte
L’esprit voyage, quelques bagage et certains oublis ça arrive
Des cartes sur la table, l’inspiration passe par les narines
Des pressions de toutes parts, l’impression que tout se barre
Parfois des questions à tout lâcher, tacher de vivre en routard
Une pensée aux potos, des souvenirs mais rarement de photos
A chacun ses problèmes, ses grosses merdes qu’on étouffe par le bédot
Certains s’y emprisonne, à terme s’y enferme
Y’a ceux qui l’accompagne, compagne mariée aux cernes
Le shit est un chut quand il y a trop de bruit
Aussi haut ou en pleine chute, dur d’y voir clair en pleine nuit
Quelques appuis, au creux de la main, du tabac fournis
Tournis au réveil, le soleil s’éveil, mais je suis déjà parti
La roue tourne, j’ai peur de me la prendre en pleine gueule
J’écris pour ne pas pensez aux siens, les miens ont peu d’orgueil
Y’a la distance, le temps à l’abstinence, d’mon coté pas mal d’errance
Sur la poutre, un faux mouvement, le tout n’a aucun sens
J’en peine à le croire, ce soir, j’ai envie de m’évader
Rien pensez a trop attendre, l’intuition finit par s’égarer
J’pensais avoir trouver ma vague, mon souffle et ma raison
Le plus instable c est moi, mais j’ai garder mes conviction
Contradiction en coïncidence, le silence à pris place dans l’audience
Les mots n’ont pas la même encre, le chanvre m’aide a être patient
Un passe temps ? Un dialogue annonce souvent une rencontre
J’suis calme car j’ai peur et froid en moi j’men rend compte
A croire que pour une fois c est moi qui me fais des films
C’est parti de suspens, pseudo dépressif virant au dramatique
Si ma plume est dérangé, elle me permet d’voir le bout du tunnel
Les mots engagés reflètent cette corde qui sert et bute le reste
J’ai la phobie de mes émois, et moi au milieu de tout ça
J’photocopies mes doutes, coute à me fouttre dans de beaux draps
Mélancolique défoncé, dénoncé de ses excès et faiblesses
Perdu au sein d’hypothèse, hypnotise mes nombreuses facettes
Peur de demain, sans elle sans rien,
Peur de pas savoir pourquoi me lever le matin
J’savoure l’instant, gouts assez brut, l’esprit ailleurs
Planant d’moments cru, au détail dans la rigueur
Mes égards, mes retards, mes besoins d’m’exprimer dans l’noir
Mes coups de foudre, mes coups de coudes et mes textes au tiroir
Je n’est rien d’intéressant, lassant j’en deviens dérangeant
Juste un chialeur avant l’heure qui se panse aux battements
Dans ma vie, peu de femmes, mes envies, peu de calme
Les aléas du cœur, son ardeur, et le shit et toutes ses fables
Si mon discourt est toujours le même
C’est qu’on fond de moi, partout, j’accours de mes chaines.
ouf c'est fini^^
