T’as tiré pour le première fois, mes ton viseur ta trahi ta loupé ton choix,
T’as espéré pulvériser la balance, mais sache que le mensonge n’est pas en absence,
La vérité est découverte même dans un baille, tu finiras en prison ou peut-être died,
Qui ne sais personne dans la vie est médium, la 3e place est libre sur le podium,
Ton pace temps est suivre ses ordres, une fois ta cible loupée t’a failli tester la corde,
On t’as dit la 2e victime fais de toi un homme, les gens te rendent aveugle tu finiras borgne,
En voyant le sang sur une arme blanche, tu te dis pourquoi ce monde je l’enclenche,
Tu n’as jamais pensé prendre une feuille vierge, pour dégeler la rage qui a germe,
Jusqu’au jour ou les barreaux ton séparé de ton arme, t’as cru n’avoir plus d’âme,
La vie ne se résume pas avec la gâchette, même si c’est une chienne dans ta tête,
Toi aussi à ton tour tu te dis innocents, mais les juges non pas perdu le sens,
Tant de preuves on fait de toi la victime du crime, par ce que tu vivais avec la frime,
T’as fierté a fini dans le placard, c’était la plus grosse de tes gaffes d’être un lascar,
T’avoue avoir fait de sale truc, t’as trop crus la justice avait une gueule de turque,
T’as essayé de te faire pardonné, mais le pardon ne te sera jamais accepté,
Les plais se referment pas aussi vite, que ces putain de manipes à risques,
J’écrit ce texte en or la plume rouillé mes larmes ne cessent de couler encor et encor,
J’écris pour celui qui a planté la balle dans ma peau, et qui ce dit n’avoir aucun défaut,
Je sais tout le monde fait des fautes, mais la tienne est fictive et ne dira jamais s’que tu vaux,
C’est l’enfers du revoir dans ta tête la haine est ton miroir qui te reflète sans le savoir,
Tu te dis mais merde, pour quoi les conséquences ne sa fiche même sur les bédos d’herbe,
Tant de latte tiré pour un résultat dans réponse, comme se décès qui m’inonde,
Toi aussi tu fais partit de ma race, mais t’es qu’un simple décor car les autres t’efface,
Un horrible désaccord dans ce monde t’a perdu tes traces, se n’est pas qu’une impasse,
J’avoue y à des choses grave, mais perdre sa mère c’est comme être pommé dans une gare,
Tu dis resté zen avoir une pensée devenu enfin saine, pourtant elle a bien fini dans la seine,
T’as su utilisé la force, avec la hargne c’est gravé sur la tombe et aussi dans l’écorce,