Bonsoir, je viens tout juste poster mon premier message, mon premier "pseudo"texte de rap au passage. J'ai pas la prétention d'etre bon, seulement celle de triper en ecrivant. Sur ce :

13 ans, déprimant, j'ai appliqué un couteau sur ma peau. Loin d'etre beau, enchainant rateau sur rateau a cause de ma gueule de bécot : premier controle de papier à la sortie de la ville, parti en vrille j'entre dans ma vie. Enchainant conneries sur conneries, j'ai rit jusqu'aux premieres tueries

15 ans maintenant, rira bien qui rira le dernier; je me suis résigné à contempler les autres triper et a accepter le fait que ma nature me fait badtriper. Premier joint proposé, j'ai tiré pour me marrer, mais desormais je suis mal barré. Rarifiés les moments où je riait, riez maintenant me voila scarifié. Parité, imparité, impartialité loin d'etre variée chez les flics de ton quartier, en garde a vue personne ne t'entend crier. Un gun sur le front, déstiné à rouler des blunts sous les ponts, completement con, desespoir de mon daron.

J'ai appris à mentir pour le meilleur et pour le pire, maintenant il n'est plus question de rire, je me contente d'ecrire et je consomme plein de drogues pour fuir. Mais je suis pas mahomet, y a pas d'egire; plus d'egide, que veux tu, y a que le suicide. Fouille mes poches, tu trouvera de la resine mais regarde mes yeux et dit moi si tu appercevoit le bleu des signes. L'hymne funebre de ma vie breve, bras en sang je suis pret à descendre en enfer, ceux qui m'aiment n'ont pas a s'en faire, j'ai trop souvent croisé le fer, il m'est meme arivé de hair ma mere.

Desormais j'ai la haine, vie malsaine, pire j'ai de la peine; voyez ces scenes, déduisez que je finirai en m'ouvrant les veines

Ce qui voient ma vie comprennent que mes nuits sont hantées par des cauchemards et pourquoi je me nois sous les toncar.

J'attends vos réponses, et comentaires ;)

un peu trop de répétition mais j'ai accroché j'ressen les écriture kome si j'passé dans la même passé mais par contre c'est pas super fluide mais bon les sentiment éprouvé dans le texte rattrape ce défault !!

Voici un de mes autres textes, créé lors d'un petit bad ^^

Partir, m'enfuir, mon avenir sera à l'image de l'Egire, ma vie se terminera a la vitesse à laquelle mon shit s'effrite. Quand je rentre chez moi, les yeux rouges tels ceux d'un Djinn et je me nois peu a peu dans de l'encre de chine

Je ne frequente pas la violence, c'est trop décevant et elle mène à la potence, je n'emploie que très rarement le fer, j'en ai pas besoin, je brûle déjà en enfer, tu n'as pas à t'en faire, je ne supplie pas l'artiste, tant qu'a faire, autant rester autiste. J'evite le cachet d'exta, l'extinction me fait clasher, j'evite de semer la poudre blanche, aucune colombe ne sort de ces semences...

Monsieur le premier ministre, en parlant de vos chatiments, pourquoi est-ce que gentiment on m'administre les premiers ? Comment tant d'aggressions peuvent elles exister, comment tant de discriminations peuvent elles nous séparer ? Segregation, arrestations, mais après avoir vu tant de potes tomber, pensez vous que vos coups de baton vont nous aider ? Au tribunal, j'avoue avoir plaidé coupable, j'avoue avoir craqué lors des funerailles, j'avoue avoir crashé sur vos pierres tombales... Après pourquoi vous vous etonnez que nos balles parlent ? Qu'on se calme a coup de lame ?

Vous nous accusez de perturber votre société, vous accusez les gens de nos quartiers de saboter votre français, mais la langue de molière n'a pas assez de mots pour exprimer certaines de nos envies guerieres.

Monsieur le ministre de l'interieur, vous et vos cireurs de chaussure, vous osez parler de karcher, vous nous comparez a des ordures, puis vous vous etonnez qu'on brule vos voitures ? Casseurs lors des manifs, fumage de spliff intensif, j'avoue que je suis fautif.

Monsieur le président, laissez moi vous dire clairement : au début, en ce pays, j'y croyais, mais comprenez, la caravane est passée pendant que les chiens aboyaient.

Messieurs les policiers, sans que cela ne vous offense, vous voulez etre les justiciers de cette france, mais vous n'en etes pas plus aimés

Messieurs les drogués, certains me reconaissent parmis vous, mais sachez que malgrès tout, c'est juste ma vie que j'essaie d'oublier

Et enfin, pour conclure, messieurs les gamers, avec ce pays plein de soudure, de parjures, exepté la soudure, vous etes parmis les rares à me rendre heureux, vous me faites presque oublier à quel point je suis peureux...