Dit leur qu’avec mes sons tu t’évade comme Scofield
Que ton portable tu le coupe pour pas recevoir de coup de file
Sur le beat je prend mon temps c’est parce que ici je me d’étant de temps en temps
Puis laisse-moi profiter de cet art sans armement
Non dit pas que je te ment parce que moi je ne suis pas de cet espèce
Ok je rêve d’espèces car la vie me raquette sans cesse
Puis moi sans elle c’est comme toi sans ta cess
Lui il l’attend sur meetic mais elle l’attendait ce midi.
Lui a pas de riz cantonnais quand elle rit a tue-tête le midi
On sait quand ont nait mais on ne sait pas quand ont se séparent
Alors délire quand ont te lance un délire parce que la vie te coupe trop vite les vivres et s’en emparent
Ne t’en fait pas tu ne passeras pas pour un débile
Car à cote on sait que t’aime les livres
C’est comme quand on me critique moi j’avance pas à pas
Et je fais pas de bruit comme un cambrioleur pour voler dans ton parta
Mais si s’était plus simple à ce jour on ne falsifierait pas les billets de Monopoly
Et les cœurs de nos jolie Mickey et Minie ne seraient pas en plastique
En art plastique j’ai jamais su la dessiner pourtant je l’a désirait
Aujourd’hui notre amour est décimé comme les guerres et leurs faits
Entre nous c’est plus la fête les sourires ont décampé
Les nouveaux campeurs se prénomment la tristesse et le mal d’aimé
Dans notre paquebot ont ne connaissaient pas le mal de mer
Et en plus elle s’entendait à merveille avec sa belle-mère
Des solutions, au bout du compte dix solutions pour une dissolution
Nous le dire sans pressions impossible car les chimistes n’apprécient pas la solution
Je te promets que ce texte je vais lui rapper pour lui rappeler notre passer
Pour lui dire que mes journée sont vite fait car elles sont faite que de glacer
Même avec les potes sa s’embrouille pour un jean et des thunes
Ce qu’ont avaient compris n’était pas clair comme la lune
Et tu sait je suis pas comme Edith moi je vois pas la vie en rose
Pourtant à ma belle des fleurs je lui en faisait avec la prose