ShaolinAnimateur Infos & réflexions
Messages : 11137 Date d'inscription : 21/05/2007
| Sujet: Mes textes Dim 10 Mai 2009 - 18:10 | |
| Un petit recueil d'une partie d'mes textes, posés ou non ^^ Son : Déséspoir (feat RDK)
Refrain:
Nos stylo pleure et nos cahiers prennnent peur trop plein de récit, de pensée sombre, trop plein de rancœur avant chaque nouveau texte écrit, ils ésperent du mieux, genre plus joyeux mais ils vivent à travers nous, à travers s’k’on vois, s’k’on veux
chaque jours est le même, à chaque tour se sont les même qui paie, c’est vrai, mal équipé dés l’enfance, kan seule la rue t’aime cho pour peser, lourd dans la balance, laiser, peu à l’aise, balisées les routes sont fausses, ayant pour seul guide, le mal déguisé pourtant épuiser, d’avoir essayer mille fois, d’en sortir, perdus certain persistent, crois en l'espoir, sure de rester invaincu pour les autres au pire, c'est l'changement de trajectoire constamment dans la ligne de mire, le jeu commence, illusoire rencontre incertaine, quand le quotidien cause tant d’peine on s'accroche, a tout, on essai tout, on laisse la vie saine c’est la vie ici, concrète, navré mais j’assure k’c’est vrai et c’est pas si loin, au besoin, tant d’gens pourront l’prouver
Son : Hooligans (jamais posé)
Des bêtes sauvages paraît pour l’carnage Violence préméditée, d’entrée il font monté leur rage Sans raison, leur réseau toujours prêt à suivre, pour certains presque ivre ça commence par des jets de vivre s’ensuivent des cris racistes merde a ça des gosses y assistent, sans cesse à l’affut, les plus atteint persistent gâcher la fête c’est leur moteur, le foot leur malheur sur lui d’ailleurs ils font peser un tel déshonneur hooligans qu’ils se nomment, ultras désaxé l’homme s’y reconnais tellement bien à l’évidence peu de liens avec l'esprit du sport, il se croient fort avec tant de renfort activiste diabolique, haine systématique éternelle problématique, mêlant physique et politique pour rien, les vois s’usent parfois des cris de singe fusent de la connerie ils en abusent, alors comme Zola, j’accuse si fier avec leur bannière marquer du sceau d'Hitler a croire qu'aujourd’hui c’est hier, pire, peut être hier est ce demain au lendemain de 39-45 c’est grave, en public entrave les lois démocratique, agissements classique de ces hordes d'ariens arriéré, ces mecs la m’file la gerbe put111 triste image, pour ces joueurs en herbe
Son : Le rap se perd
Prend toi ça mec, ce revers, t’es vert de rage D’voir tant d’mec sortir de l’orage, tourner la page De vivre d’cet art et c’est pas plus mal Tant d’galere, de misère, c fatal le rap est la pour le rappeler, De guerre las, faudrait pensé à l’accepter Tant d’gens représenté, arrêter ? vous plaisanter? Jamais, fallait l’faire, fallait osé,allé une pensée pour ceux qui se sont lancé Au pionnier, putain, s’ki s’fé aujourd’hui m’fait pleurer Les sujets ont changer, la frime en prime et J’deprime de voir tant de sale rimes, tant de rappeur de primes réussir, oké, wé mais en restant clean, sur la ligne de front le message doit persister, faire face aux affronts retablir la verité, tkt mon auditoir sais ouai mon auditoir sait habitué à la rime sencé mes oreilles saigne d’entendre tant d’merde dans les airs le rap se perd, les mc naz opèrent, prospère, pose et espère s’identifie en tant k’expert mé la cause, elle désespère la prose décroit en valeur, scénario dramatique, c'est l'heure pour le rap de vivre tout ses malheurs, sombrant dans l’erreur l’essence en est le sens, insensé sont ceux qui pense sans cesse à leur réputation, fondé sur des versets sans intérêt qu'ils déversent s’acharnant à associer le rap et les armes, les armes ils les connaissent par cœur, outils secondaire du rappeur c’est s’ki sdit dans les mœurs mais cet image là une erreur
Son : Mentalités wesh wesh
Regarde dehors, observe la rue encore et encore chacun y fé son truc priant pour son sort fantômes solitaires ou est la rue solidaire chacun pour soi, une idée qui prolifaire ici ou ailleurs la monnaie prime jl'accuse d'ailleurs d'éroder la rime de faire rever les ptits, d'provoquer leur céssité a 15 ans c'est maintenant ou jamais l'envi justifie les moyens, tu l'sais bien chacun veut l'sien, avoir mieu k'le voisin cursus scolaire deplorable être dernier d'la classe c'est si honorable, fier d'la moyenne la plus basse absent à tout les cours comme chaque jour aux heures de r'pas en somme ça pèse lourd qu'on t'ils cruent, regarde mais n'touche pas eux i ont droit, pas toi, pour posseder y a pas l'choix l'issue n'offre aucune porte mais l'envie est plus forte il faut vivre sans oublié qu'il faut epater l'escorte la roulette est lancée elle finira par s'arreter la drame d'cette jeunesse...la sentence prononcée
Refrain:
Mentalité wesh wesh, le temps colmatera les brèches illusion......alerte, norones collisions dans leur tête c'est l'explosion, toi même tu sais je sais nous savons, pour ça nous posons comme des savants
Son : Les destin fait sa loi
le temps file, ou est ce qu'ils nous emmene la vie défile tient qu'a un fil, souvent même avant d'avoir commencer, d'savoir comment c'est en vrai y a t il un sens à tout ça à par la pensée ont s'accroche à quoi, à trop de choses incensés on s'laisse aller à vouloir comprendre les faits déchiffrer la carte, boussole en main, le destin nous tient, quoi qu'on fasse, on y peut vraiment rien qui peut lire le futur, gommer ses ratures tant de concept qui rassure, de conneries qui perdurent j'massier un moment, j'observe et la je sais qu'on subit le présent, qu'on avance sans raison, qu'on prefere vivre l'instant sans se soucier du vrai on s'affere, en tête nos petites affaires,navré navré pour ceux qui galère, destin tragique ou vérité qu'on efface comme sur ces tableaux magique
Son : Sans thème précis
Cette vie est belle, pour qui, pour eux a mon avis il sont peu à l'apprecier, serieux oué, impossible, l'éspoir en bas est trop peu crédible c'est la merde et les appels constament restent inaudible La vie un cauchemar pour les éviter on s'couche tar les souvenirs afflus, image flou vicieuse est la mémoire pour ma part, 20 ans d'foyer et tant de peines à l'arrivée mélancolie chronique,comment oublié ce putain d'passé chaque jour est lassitude,chaque jour comme d'habitude dans ma tete il fé gris, mes soutiens sont mes aptitudes la reflexion, l'analyse, ailleurs je sais, y a pire alors jamais j'me plains, mon remede, un long soupir mourir, tu sais on y pense tous du fond du gouffre c comme ca, pour l'exemple il fo que certains souffre l'égalité on s'la fait en essayant de reussir malgré les bases, quitte à echouer et à en mourrir
cette vie est courte, fo pas la laisser filé enfilé l'maillot du vainqueur, sans pour autant défilé rester modeste humble, j'avou que l'exemple est rare jadis, j'me moquais des sages, j'avais un temps d'retard aujourd'hui j'ai compris, trankil, j'suis pepere la route fut longue, trop souvent dans l'flou sans repere les epreuves renforce, le vécu lentement forme une digue prete à faire face aux vents, aux vagues les plus dingues comprenez........... les epreuves sont didactique aprés ca reste à trouver sans s'tromper, la bonne tactique chacun sa vision, chacun sa manière, en clair la finalité, c'est la vie que la conscience eclair
Son : Lla même
C'est la merde perpetuelle, c'est la même encore et toujours la décrire c'est s'kon aime tous on élabore, si ça gène, c'est k'ca germe MAM Shaolin fo kt'écoute et kt'la ferme en bas, on s'bat, on s'débat même, on débat on débarque, on opère, évitant les faux pas parce que chaque instant nous rappel qui nous sommes parce que chacun tend à brisé le cycle,en somme quotidien immuable, ce filet nous retient spéctateur sans moyen, affligé, droit à rien les cons nous condamnes, innocent mais coupable on s'accroche pour nos proches, on reste indomptable conscient de l'enjeu parce que hors du jeu on se place hors du "je", solidaires, avec peu bref, MAM Shaolin pas la fleme c'est la même,vl'a s'qu'on seme et c'est tout s'kon aime
Son : L'état des choses
Y a trop de merde, trop de misère, trop de pourris Y a trop d’emmerde, trop de galère et trop de conneries Partout on s’débat, chacun de nous mene son combat Avec peu d’atouts au quotidien, quotidien fait de coup bas Chacun cherche sa voix mais la raison a perdu ses droits Depuis belle lurette, passé présent futur me laisse froid On déambule sans but, ne craignant plus que la chute Préambule d'une nouvelle ère, partout pour rien on s'chahute On s’construit, mais sans repère, on s’perd, souvent, que faire On s’instruis, mais a quoi bon si rien de tout s’la ne sert Les effort sont honorable, wé mais sont ils suffisant Lorsque l’on avance, face au vent, seul, en toute saison Oublié, ignoré, perdant face à la vie, combat inégal Teneur en mélancolie, 100 %, les cons s’en régal Dans d'histoires, mêlant tragédie, mal de vivre, et puis Peu de pensées pour ceux qui subissent de jour comme de nuit
A chaque instant, ici et là le sort s’acharne Sur les même, souvent, sans bruit sans vacarme Des vies faites que de souffrance, des vies passées dans l’silence L’insouciance est ailleurs, plus rien n’est porteur d’espérance La méfiance est à la mode, les familles sont en crise Pire, les frères se vise, pour le bizz, pour les devises, Cette vie, cette époque, ces groupes de gosses qui endosse Les erreurs du passés, mais aujourd’hui k’ess ki é fé, fausse !! Fausse est leur vision, grosse, trop grosse sont leurs erreurs le nom, le faciès, la couleur, des critères à faire peur 2008 c’est encore vrai, 2008 et tant d’gens navrés Par des discours calculé, mensonger, préparé C’ke j’dis à déjà été dis, sera dit et redit, ehh dit Le monde va mal, le mal est partout, était ce prédit ? Peu importe, la douleur est bien là, moral ou physique Y a plus d’sens de l’honneur alors on vis dans le tragique
Son : Peu de pleins sourires
Peu de pleins sourires, peu de place au rire Peu de mise sur l’avenir, peu de place sur l’navire Croisière de rêve, trop souvent pour les mêmes etttt Que tout ceux qui aimeraient en profiter lève les mains etttt Sème de l’espoir, parce c’est pas gagné, nan Si peu de gloire pour nos écrits, si peu lus, c’est gênant Peu importe, peu sensible, peu de larmes à leurs yeux Mais de qui je parle ? De tout ces pourris véreux Démagogie? Pas sûr, j’oubli pas ceux qui se lassent Mais qui attendent la divine grâce ou que les choses se fassent Facile à dire, je sais, parfois le passé laisse des traces Aussi sur que le vent emporte ces voiliers qui tracent Exclu j’ai excusez jadis, pourtant mis au rebus Ex reclus, j’ai vite compris k’j’avais faux depuis l’début Tant de questions et si peu de réponse tu penses Qui peu nous connaître mieux que nous même, conséquence Travail sur soi, au quotidien, se comprendre est la clef Au risque de s’perdre au fin fond de nos pensées
Combien ont résister, dans l’attente d’une relève et Combien sont tombés espérant qu’on les relève mais La vie est un moche contrat, t’est à terre, t’y reste Triste clause m’amenant à de tristes proses, test !! Beaucoup ont si peu à perdre, alors prennent des risques Mélodie quotidienne jusqu'à c’ke se raye le disk Faut y penser avant d’agir se battre avec fierté Mais avec celle qui sert, pas celle qui blesse en vérité Si peu de temps nous est laissé pour nous construire Face aux merdes, on lutte certain préfèrent s’enfuirent D’autres conspirent, nous salissent pire s’allient aux cons S’immiscent dans cet art mais finissent au placard, au fond Qui est sincères, de rester soit même ça sert Car tôt ou tard les masques tombent et c’est l’embrouille mon frere L’important n’est pas c’que l’on possède On emporte rien avec soit lorsqu’on décède Simplement on laisse une trace à ceux qui nous succèdent Mémorial pour un juste ? Dur de l’être, j’le concede Parfois on cède, on s’laisse guider par nos sales pensées Souvent prime l’intérêt, objectif, amassé La tune n’est pas une fin pour ceux qui réfléchissent La réussite est plus honorable, dit le à tout ces riches de fils De quoi hérités t-ils hors mis l’avarice, souvent Planquer chez eux, confiné, à l’abri du vent
Son : La tour d'argile
Regarde bien autour de toi et observe le bal Le spectacle est terrible, wé partout ça va mal La foule se pousse, s’agite, au bas de la tour d’argile Chacun rêve du sommet, y accéder et dire c'était facile Mais elle nous joue des tours à la fois si proche et si haute elle n’est qu’une illusion mais chacun veut être son hote accéder a son sommet et pourquoi y demeurer mais cette tour n’est pas d’ivoire, fragile, elle peu s'écrouler a chaque instant, elle trompe, laisse croire et puis déchoir la réussite sans raison est comme l’aveugle face au miroir sur son chemin, y traine tant de démon au visage d’ange on mise sur la chance pour ne pas les croiser, dommage influencer, tôt ou tard, il finisse par nous accompagné guider, on l’ aperçois au loin cette sombre tour tant convoiter l’homme devant la tentation perd si vite la mémoire alors de la lumière il passe dans l’ombre avant de broyer noir |
|