> liberté
Pouvoir d'exercer sa volonté en agissant ou en n'agissant pas.
> égalité
Qualité de ce qui est égal.
Etat de conditions égales.
Qualité de ce qui est uni.
> fraternité
Liaison étroite de ceux qui, sans être frères, se traitent comme frères.
Concorde, union entre les hommes.
Si j'ai la liberté, j'ai le choix d'agir ou de ne pas agir, alors, si je prend en compte l'égalité, je peux agir lorsque mes agissements sont conforme à la définition de l'égalité, ce qui revient à dire que chacun possède les même droits et devoirs que moi, dans un espace justement réstreint par ces conditions. Je n'est pas plus de pouvoir et ils n'ont pas plus de pouvoir. Ces remarques impliquent que c'est une nécessité pour la valeur de fraternité, puisque il n'y a pas de fraternité sans valeurs qui rapprochent les êtres et qui font que aucun n'est au dessus de l'autre.
Il faut donc considérer que nos agissements sont restreints, compte tenu du fait que pour que l'autre puisse jouir des ses droits, je dois moi même lui en laisser la possibilités, et cette possibilité passe par la restrictions de ce qu'on pourrait nommée une liberté absolue, qui tuerait l'égalité et qui empêcherait la fraternité.
Ce qui malheureusement, de toute façon, est +/- le cas, puisqu'il n'y a pas de liberté égale dans nos société et encore moins de fraternité : les religions, les orientations sexuelles, les catégories sociales, les races, les origines, les idées sont toutes des exemples de choses qui empêche cela. Alors la cause ne se situe pas forcément dans ces choses, mais plutôt dans les êtres, car au final ce sont les individus qui sont à l'origine de chaque chose qui vont à l'encontre des ces trois principes (liberté, égalité, fraternité) qui personnellement me semble une bonne chose.
Dans beaucoup de pays c'est moins possible voir pas du tout, car les comportements sont dictés par la loi et non par les individus. L'église catholique est longtemps demeurés maitresse du comportement des individus, moins maintenant même si des choses persistent dans la tête des gens, qui font qu'il ne sont pas tout à fait émancipés de ces idéos et jugent encore vis à vis de cette vision post-chrétienne. Aujourd'hui c'est d'autres pays qui sont encore dans cet états de fonctionnement, mais il n'y a pas de libertés finalement, parce que les gens pensent que la liberté des droits fondamentaux elle passe par le fait que c'est le plus grands nombre qui à raison, donc dans un pays comme ça, les lois en vigueur sont celles dont les idées priment parce qu'elles sont suivis par le plus grand nombre, ce qui est une absurdité car ceux qui ne les partagent pas se voient contraint de subir cela.
En fait pour que cela fonctionne, il faut que les gens cesse de penser qu'ils ont raison sur les questions fondamentales et qu'ils accepte qu'il puisse y avoir d'autre manière de vivre et de penser, sans ces pré-requis, c'est pas possible, mais les gens sont trop en faible en général pour accepter cela, il se laissent conduire par les idées de leur conditionnement, souvent pas par choix mais par nécessité pour pas être marginalisé ou montrer du doigts. C'est le jour ou il s'émanciperont de toutes ces influences que les choses cesseront d'être statique. Mais je pense qu'avec les nouvelles générations y a une ouverture d'esprit qui monte, et les gens sont plus tolérants, plus capable d'admettre toutes les différences même s'il reste moqueurs souvent.