dans L’traquenard, c’est moi qui t’ecartèle, l’accro du crack
J’sais j’suis un connard, le junkies d’vient écarlate, C’est comme ça que je traque/
Pas de lyrics, une matraque contre ta trique, on r’connai plus, ton faciès
T’es pas dans la cadence déjà, révise ton style bouge toi, arrête ta sieste/
Des phases pleines de vin comme ton bide qui grossit tes bourrelets…
Comment sur le beat tes lyrics de merde puisse passer ton palais ? /
Moi j’ai ce qui faut pour que tu te tais, J’t’y colle un Palet//
-lyrical- Bien chargé on en es pu au Gun mais aux mots qui suinte et
Je Tate le succès et toi mes boules… T’as su que c’est pas toi qui va les sucer ?/
Si t’envie mes hormones ou mes gènes passe ta meuf et Je la fourre enceinte
Mais L’fils sera seul avec mon héritage dès le plus jeune âge c’est lui sur la scène/
Mais Je reste sage j’attend ton couplet vu que j’me suis accouplé avec la malsaine//

J'vois qu'même dans tes écrits tu cherches, le compliqué
Je lui offre la réplique et, ce con n'est pas capable, de s’appliquer/
T’appuie sur la gâchette comme NTM, mais tu t’es té-poin
Ton style réchauffé est à point, tandis que je lève le poing/
Va pointer chez les putes, t’as meuf je l’ai écarté...
Je la garde pas dans le carnet, mais je m’arrangerai avec Arte/
Car les cartes sont jetés d'puis, qu'j' t’ai chiqué ta dame, sur l’échiquier
Pas b'soin d'te Colleter mon Colt 44 pour te dire, qu'c’est l’échec et/
Tu peux Reggretter d'avoir gratté, moi le bouchon de liège, part au plafond
Toi tu suce des arrêtes de poisson pourris, et pour mon riz, tu te morfond/
T’es plus que mon molosse pour qui mon molard, es un reflet de mon art
Tellement il t’as mordu, tu r’par dans l’Mozard car l’Pitbull de Booba t'donne…
Des cauchemars…/

Ton blaze j’m’en accapare si tu retourne pas le décaper
Tu lache quelques acap’ et tu crois me rendre handicapé/
Tu pers le cap de la victoire ton style ressemble qu’a du jackass
Je vais le lyncher, tes rimes les engrossées, ta vie la fracasse/
Tu te lasse pas de l’as des rimes, un rêve…Alors j’suis le dream-catcher
Je te dévore tes mots n’ont plus de force… Je l’attire comme un karcher/
Si Le Hip-hop est, un art de combat, j’enchaîne les crimes comme à l’escrime
Si le rap est, une batterie de berline, Je suis au volant d’une limousine/
Ton 92 et ta ville moi je l’encule, mon 4/4 semble avoir rasé le talent ça recule
J’ausculte ton style, trouvé dans un fascicule tu pers ton culte depuis que j’t’accule/
T’as l’ teint si terne… Tu joues avec le feu.. Je t’immole à la citerne on compose L’ 18
Reste donc taciturne… Je jette l’allumette.. ton style f'sai vomir comme après 10 huîtres/

Essoufflé par ces critiques tu pers ta bile par ce pamphlet
Si j’part dans le ton soutenu j’dirai que tu t’es pris d’sacrés soufflets/
Tout ça pour dire que toutes tes rimes ne sont pas assez disparates
Tu rap comme doublé par ton dico disparais car tes rimes dissipées se ratent/
J’sais pas où ta appris à clasher, mais avant d’écrire, la mère Perra faut la dompter
Retourne ton cahier, prends le couteau, va t’ôter des litres de sang sans les compter/
T’es à côté, dla plaque, le discours qu’j’ai escompté, à terre t’as plaqué
J’donne la cote à tes rimes, c’est la côte contre mon rap d’or, pas du plaqué/
Quand tu te crois Guépard je suis le raptor dès le départ t’es
semé, mal au cœur, t’as eu tort tu le sais jte l’dis en aparté/
Le clash qui acroche c’est l’écorce de mon blaze au goût corsé
Malgré que toi tu t’étouffe dans ton style comme dans un corset/