Encore un fois ce matin, je me lève sous l'emprise d'une impression de gradins
Regard sur ma vie, mais seigneur je suis encore que le spectateur
Si la rumeur est vrai, que la vie est une mélodie enivrante,
J'aimerais que l'on m'explique pourquoi ce n'est jamais pour moi que les anges chantent.
Mon père m'as toujours dit, les perles les plus rares se cachent dans les profondeur du noir territoire. Mais père dit moi comment fait-on,
pour chercher dans ces dîtes contrées, alors que même notre vision est prise au jeu de la raison.


J'ai tenter d'être fier de moi, fier de sang, mais rien a faire sauf de regarder mon aura et âme se détruire à fragments.
Tout ce que je voulais c'était de vivre en vérité, je me retrouve à la place à errer dans ce monde sans identité, le souffle coupé, noyé dans la densité.
Les gens disent que l'on grandis et frappe des temps durs, seulement moi je fais toujours face à ma toile, seul confus et sans peinture.
Si la chance j'avais de connaître le coup de pinceau, peut-être un jour saurais-je ce vraiment que je vaut ?
En attendant, les idées j'ambitionnes, les problèmes je fractionne et du coup rien ne se positionne, condamné à suivre une route qui ne mène pas à Rome.


Le sommeil du passé viens d'un monde parallèle, Seulement je suis né d'une immunité au marchand de sable. Mais par mis les misérables désormais j'ai une place confortable.
Je m'allonge et sombre dans les songes, me remplissant tel une éponge, saturé par le mensonge. L'hiver arrive alors que je voudrais pleurer mais tout se gèlera et seras emprisonner.


L'idée d'une vie peu à peu me me laisse perplexe alors que sur mes genoux tentant de la réanimer à grand coup de silex.
Je suis de ceux qui parle mais n'agisse pas, de ceux qui laisse tout leur passer entre les doigts.
Me recouvrir de ses pétales était la première chose dont je souhaitais, n'ayant que le parfum je me consacre alors à un destin on ne peut plus défunt.
Au tableau armé de ma craie, jamais je n'aurais baissé le rideau si je savais que comme sa la pièce se terminerais.
Je suis un maraudeur, toujours en quête de la lueur mais j'ai fouillé trop loin j'en ai effrayer la stupeur.
En retard ils arrivent puis se mettent à pleurer et prier, maintenant lève les yeux et enfin tous en chœur pour moi se décident à chanter.


Je dis que je souris et m'endurcis
Sa y est de plus belle je leur ai encore mentis
Sa y est de plus belle je joue la carte de la tromperie
Et en bout de ligne la fin de mon histoire, de la dire j'ai omis