ce poeme de la fille violée m'a inspiré:
Comme je te vois, je l'ai vu oh frère, crois ma parole,
sous forme humaine faire du mal sous differentes formes,
je l'ai vu, torturer, je l'ai vu en liberté, com toi com moi,
il habitait simplement dans le quartier,
je l'ai vu oh frère, j'en ai eu des frissons,
crois moi, je suis partie, me suis enfuie de cette vision,
je l'ai reconnu dans ces actions, il ne m'a pas trompée,
je suis croyante, et peut voir ou se cache la perdition,
je l'ai vue, il s'est revélé a moi, un matin ou un soir,
je l'ai vu, et ses méfaits, portaient la signature du desespoir
je l'ai vu mon frère, comme je crois en l'enfer, je l'ai vu
sur cette terre, celui ki est invisible et rapide comme l'eclaire,
j'ai eu si peur, de le voir parler si librement, j'ai eu si peur,
que je me suis enfuie, droit devant, mon frère, crois moi,
c'est grace a la connaissance mon frère,que je peux le detecter,
c'est grace a Dieu et son livre que je peux voir ki s'en est ecarté,
car le chemin du bien se distingue de celui de l'errance,
aussi vrai que se distingue, le croyant de la mecreance