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XeroneLatino Boy Modératueur
Messages : 30430 Age : 36 Groupe : LATIN POWER Date d'inscription : 01/05/2007
| Sujet: Xerone - Alzheimer Lun 6 Aoû 2007 - 14:50 | |
| Gros doigts a l'Etat. Ps: seul les lumières et penseur du forum arriveront a comprendre la totaliter du texte Xeяone - Alzheimer
Un clin d'oeil à l'oubli, à la mémoire qu'on supplie De rester en nos tête pour la vie, on gravit Les âges est-ce qu'on en oublie la sagesse Rien ne presse, on est malade dès la naissance Le temps est incurable autant que le dass On fait l'amour à la vie sans protection Et à la fin nul ne peux faire un remake de la version Ce verset est pour rendre hommage A ces parents, grand parents délaissé par leur famille A leur âge, cet été là délaissés par la clim Amicalement votre, messieurs les ministres Qui avez rendu nos coeurs sinistres et si tristes Merci à vous de ne pas avoir réagis Preuve une fois de plus de votre temps pour réfléchir Assumer ses actes est une preuve de maturité Mettre ça sur le dos des infirmières Franchement c'était pas l'exemple de l'honnêteté En vérité, vos problèmes de retraites sont réglés Le dossier est bâclée aucune sensibilité De votre part, rien ne compte à part la rentabilité Les pertes de mémoires vous feront perdre votre crédibilité Face à l'unanimité, vous êtes solo et nous à l'unité Alzheimer pour tout le monde ici le masque est tombé La France s'est mise à tanguer devant ce fléau Comblé, parlez pour vous, vous nous avez trompé Dans vos magouilles trempés jusqu'au cou, cloîtré Ici-bas, on est droit, le mal se dissipe pas L'âge est d'or, les âgés dorment Et n'se réveillent plus, mort naturelle Facile à établir, surtout quand on sait bien mentir La mémoire nous fait souvent défaut, alors on s'égare On se sent faux, y a trop d'écart, pas assez de raccords Record à battre pour les étés suivants Suivront après la canicule, le gel et le vent Souvent on se remémorera ces remords qu'on aura En ce jour là, c'est pour ça que j'ai écris et que je cries ça Pour ne pas oublier, pour ne pas les humilier Dans leur tombe où personne n'est venu leur parler Les fleurs ont fané sous le R.I.P, depuis qu'ils ont cané Les doyens n'vivent plus en paix, personne n'est à l'abri Du nettoyage d'été, le vide, et l'avidité des hospices Pour le coup c'est sûr, le destin ne nous enverra plus d'auspices Espèce de facho qui hait les vieux, tant pis pour eux On f'ra pareil sur eux quand ils auront prit des rides Oh ! ce texte t'a fait grimper au rideau Descends-y vieux, et trouve le monde à tes yeux Fais tes voeux pour l'an prochain, on est doucement en train De s'en approcher, c'est trop cher de garder tout pour soi Alors on déballe ou on oublie, et ça s'retourne contre toi.
Refrain : J'me souviens de ta voix, j'me souviens de ton visage J'me souviens de la voie empruntée pour voir ce paysage Tu t'souviens de l'hiver, tu t'souviens de l'été Te souviens-tu du film que j't'avais prêté Tout ommis, tout oublier, j'ai remis le tablier Aucun crime commis, par là Alzheimer est passé.
Quelques années ont passé, déjà, c'est oublié On rejette la faute sur nous en nous faisant de plus en plus travailler Sans rémunérations pour couvrir vos inattentions Vos têtes se vident à votre guise, mémoire sélective Sensation de compensation quand la vieillesse arrive Oppression des âges, répressions des sages A voir la météo, on s'attend chaque jour au mauvais présage Catastrophe naturelle utile à ces monstres Aucune preuve de ce que j'avance mais leurs réactions le démontre En offrant un verre d'eau à un doyen Le bossu de Matignon a cru trouver un moyen De calmer les foules, de nier sa culpabilité Quelle cupidité pour des hommes soi-disant droits Quelle médiocrité pour des hommes qui font nos lois Alzheimer à l'Élysée, Matignon et tous les autres Alzheimer parce qu'ils nous ont tous fermé la porte Au nez mais ne s'en rappellent plus, que faut-il de plus ? Un drame pour que nos propos soient pris en compte Pris au sérieux, tout le monde crève pendant qu'en haut ils font leurs comptes Ça m'espante, ils restent là pendant que des vies s'estompent Des personnes âgées considérées comme des poids lourds Par leur entourage qui pour certains les oublie Alzheimer n'atteint pas uniquement ceux que l'on croit Maintenant la vie c'est rien, c'est chacun sa croix Chacun pour soi, débrouillard, accroche toi Jusqu'à 100 ans encore chez toi, dépendant de ta loi Tu ne veux pas qu'on s'occupe de toi Mais si personne le fait on posera des roses à côté de ta croix Trop à l'étroit dans les hospices, beaucoup râlent En général au départ, on croit pouvoir tout gérer Mais à la fin des comptes, c'est trop dur à digérer Des mesures de sécurité non prises par nos dirigeants La faute leur revient de droit, mais le droit est à eux, c'est affligeant En infligeant leur colère sur nos vies, on ravit La mort et on dévie les accords, le décors nous inspire Une seule question à poser quand on crève de chaud : « est-ce qu'il respire ? » Le coeur ne bat plus, l'esprit est perdu dans le vague Son corps ne bouge plus et c'est l'insécurité qui stagne J'espère qu'ils finiront au bagne La santé, Fleury ou Fresnes, mais par pitié, qu'ils y aillent Trop de décès à cause de leur succès Trop près des caisses de l'État, ils auront trop fait d'excès Pour eux, et les autres ils n'en ont rien à foutre Donc messieurs les ministres, sauf votre respect Allez vous faire foutre, en outre On respecte ceux qui respecte l'être humain A n'importe quel âge, mais vous, vous respectez uniquement vos chèques Ne vous étonnez pas, du naufrage, du virage sec Pour qu'on dégage, j'mens pas, j'reste là, j'vous check Vous pousse à bout, jusqu'à ce que vous avouiez tout Alzheimer est passé partout, on oublie tout petit à petit Mais vous êtes en stade avancé, prêt à crever de votre appétit Pour l'argent, pas pour les gens, une canicule ne suffit plus Vous servez à rien, agents de la bêtise en pleine action A cause de votre inattention, décès des doyens, blessés dans leurs âmes Soi-disant, y avait pas de moyens, le drame Est là, Alzheimer est là et on est tous tombé sous son charme Omission des pensées, de la vie et de la mort Alzheimer est là et se manifeste encore.
Refrain : J'me souviens de ta voix, j'me souviens de ton visage J'me souviens de la voie empruntée pour voir ce paysage Tu t'souviens de l'hiver, tu t'souviens de l'été Te souviens-tu du film que j't'avais prêté Tout ommis, tout oublier, j'ai remis le tablier Aucun crime commis, par là Alzheimer est passé.
[ Xeяone Decembre 2oo6 ] ps: y a certaine personne qui m'disez que j'avais pomper Medine, Gros LOL ! |
| | | D-TissGrand RBien
Messages : 1647 Age : 31 Groupe : Tarsar Date d'inscription : 23/04/2007
| Sujet: Re: Xerone - Alzheimer Lun 6 Aoû 2007 - 18:43 | |
| - Xerone a écrit:
- Gros doigts a l'Etat.
Ps: seul les lumières et penseur du forum arriveront a comprendre la totaliter du texte
Xeяone - Alzheimer
Un clin d'oeil à l'oubli, à la mémoire qu'on supplie De rester en nos tête pour la vie, on gravit Les âges est-ce qu'on en oublie la sagesse Rien ne presse, on est malade dès la naissance Le temps est incurable autant que le dass On fait l'amour à la vie sans protection Et à la fin nul ne peux faire un remake de la version Ce verset est pour rendre hommage A ces parents, grand parents délaissé par leur famille A leur âge, cet été là délaissés par la clim Amicalement votre, messieurs les ministres Qui avez rendu nos coeurs sinistres et si tristes Merci à vous de ne pas avoir réagis Preuve une fois de plus de votre temps pour réfléchir Assumer ses actes est une preuve de maturité Mettre ça sur le dos des infirmières Franchement c'était pas l'exemple de l'honnêteté En vérité, vos problèmes de retraites sont réglés Le dossier est bâclée aucune sensibilité De votre part, rien ne compte à part la rentabilité Les pertes de mémoires vous feront perdre votre crédibilité Face à l'unanimité, vous êtes solo et nous à l'unité Alzheimer pour tout le monde ici le masque est tombé La France s'est mise à tanguer devant ce fléau Comblé, parlez pour vous, vous nous avez trompé Dans vos magouilles trempés jusqu'au cou, cloîtré Ici-bas, on est droit, le mal se dissipe pas L'âge est d'or, les âgés dorment Et n'se réveillent plus, mort naturelle Facile à établir, surtout quand on sait bien mentir La mémoire nous fait souvent défaut, alors on s'égare On se sent faux, y a trop d'écart, pas assez de raccords Record à battre pour les étés suivants Suivront après la canicule, le gel et le vent Souvent on se remémorera ces remords qu'on aura En ce jour là, c'est pour ça que j'ai écris et que je cries ça Pour ne pas oublier, pour ne pas les humilier Dans leur tombe où personne n'est venu leur parler Les fleurs ont fané sous le R.I.P, depuis qu'ils ont cané Les doyens n'vivent plus en paix, personne n'est à l'abri Du nettoyage d'été, le vide, et l'avidité des hospices Pour le coup c'est sûr, le destin ne nous enverra plus d'auspices Espèce de facho qui hait les vieux, tant pis pour eux On f'ra pareil sur eux quand ils auront prit des rides Oh ! ce texte t'a fait grimper au rideau Descends-y vieux, et trouve le monde à tes yeux Fais tes voeux pour l'an prochain, on est doucement en train De s'en approcher, c'est trop cher de garder tout pour soi Alors on déballe ou on oublie, et ça s'retourne contre toi.
Refrain : J'me souviens de ta voix, j'me souviens de ton visage J'me souviens de la voie empruntée pour voir ce paysage Tu t'souviens de l'hiver, tu t'souviens de l'été Te souviens-tu du film que j't'avais prêté Tout ommis, tout oublier, j'ai remis le tablier Aucun crime commis, par là Alzheimer est passé.
Quelques années ont passé, déjà, c'est oublié On rejette la faute sur nous en nous faisant de plus en plus travailler Sans rémunérations pour couvrir vos inattentions Vos têtes se vident à votre guise, mémoire sélective Sensation de compensation quand la vieillesse arrive Oppression des âges, répressions des sages A voir la météo, on s'attend chaque jour au mauvais présage Catastrophe naturelle utile à ces monstres Aucune preuve de ce que j'avance mais leurs réactions le démontre En offrant un verre d'eau à un doyen Le bossu de Matignon a cru trouver un moyen De calmer les foules, de nier sa culpabilité Quelle cupidité pour des hommes soi-disant droits Quelle médiocrité pour des hommes qui font nos lois Alzheimer à l'Élysée, Matignon et tous les autres Alzheimer parce qu'ils nous ont tous fermé la porte Au nez mais ne s'en rappellent plus, que faut-il de plus ? Un drame pour que nos propos soient pris en compte Pris au sérieux, tout le monde crève pendant qu'en haut ils font leurs comptes Ça m'espante, ils restent là pendant que des vies s'estompent Des personnes âgées considérées comme des poids lourds Par leur entourage qui pour certains les oublie Alzheimer n'atteint pas uniquement ceux que l'on croit Maintenant la vie c'est rien, c'est chacun sa croix Chacun pour soi, débrouillard, accroche toi Jusqu'à 100 ans encore chez toi, dépendant de ta loi Tu ne veux pas qu'on s'occupe de toi Mais si personne le fait on posera des roses à côté de ta croix Trop à l'étroit dans les hospices, beaucoup râlent En général au départ, on croit pouvoir tout gérer Mais à la fin des comptes, c'est trop dur à digérer Des mesures de sécurité non prises par nos dirigeants La faute leur revient de droit, mais le droit est à eux, c'est affligeant En infligeant leur colère sur nos vies, on ravit La mort et on dévie les accords, le décors nous inspire Une seule question à poser quand on crève de chaud : « est-ce qu'il respire ? » Le coeur ne bat plus, l'esprit est perdu dans le vague Son corps ne bouge plus et c'est l'insécurité qui stagne J'espère qu'ils finiront au bagne La santé, Fleury ou Fresnes, mais par pitié, qu'ils y aillent Trop de décès à cause de leur succès Trop près des caisses de l'État, ils auront trop fait d'excès Pour eux, et les autres ils n'en ont rien à foutre Donc messieurs les ministres, sauf votre respect Allez vous faire foutre, en outre On respecte ceux qui respecte l'être humain A n'importe quel âge, mais vous, vous respectez uniquement vos chèques Ne vous étonnez pas, du naufrage, du virage sec Pour qu'on dégage, j'mens pas, j'reste là, j'vous check Vous pousse à bout, jusqu'à ce que vous avouiez tout Alzheimer est passé partout, on oublie tout petit à petit Mais vous êtes en stade avancé, prêt à crever de votre appétit Pour l'argent, pas pour les gens, une canicule ne suffit plus Vous servez à rien, agents de la bêtise en pleine action A cause de votre inattention, décès des doyens, blessés dans leurs âmes Soi-disant, y avait pas de moyens, le drame Est là, Alzheimer est là et on est tous tombé sous son charme Omission des pensées, de la vie et de la mort Alzheimer est là et se manifeste encore.
Refrain : J'me souviens de ta voix, j'me souviens de ton visage J'me souviens de la voie empruntée pour voir ce paysage Tu t'souviens de l'hiver, tu t'souviens de l'été Te souviens-tu du film que j't'avais prêté Tout ommis, tout oublier, j'ai remis le tablier Aucun crime commis, par là Alzheimer est passé.
[ Xeяone Decembre 2oo6 ] ps: y a certaine personne qui m'disez que j'avais pomper Medine, Gros LOL ! t un poete change r1 lol |
| | | XeroneLatino Boy Modératueur
Messages : 30430 Age : 36 Groupe : LATIN POWER Date d'inscription : 01/05/2007
| Sujet: Re: Xerone - Alzheimer Lun 6 Aoû 2007 - 18:47 | |
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| | | Tony-anRBien en herbe
Messages : 16 Date d'inscription : 01/08/2007
| Sujet: Re: Xerone - Alzheimer Mar 7 Aoû 2007 - 11:50 | |
| Putain t'assure grave, lol Medine quand même pas mais un p'tit medine quoi lol, t'assure serieu ! |
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| Sujet: Re: Xerone - Alzheimer | |
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