Je mani la plume manuellement tristement triste destiné
Je vois la deprime se comprimer sur mon visage
Vis casher je reste casher restant la sombrer dans le noir
Desaroie je voie mon etre se refroidir sans s’appaisir sans plaisir
Je n’est plus de sourrir de toute facon jour joyeux ou jeune venereux
Dans mes yeux marrons c’est le fond qui sombre la tristesse qui succombe
Succombant a mon elan qui me plombe depuis des décennie j’ai le mauvais
Qui vient me hanter la frustration et la dépression exerssant une sorte de pression
Sur ma peau d’homme sereint mais mal au fond surtout au niveau sanguin
A+ je le suis mal encore plus car ma corpulence na pas d’aisance
Et l’opressence avance comment expliquer ce que je ressent pertinemment
Précieuse et précis sont des moment indécis que la vie retrecie
Et que mes ligne ont choisis je suis neé un 2 fevrirer avec une larme graver
Gravissant ma joue se lassant de mes pleinte incessante rougissante
Palpitante sont les pulsions alterielle m’alternant m’arrêtant
D’où vien ce registre enregistrent le mal permanent mais pourtant
Je n’entend que les bruit naissant laissant une entente postive relativisant
Une sorte de divison divulguant le mot vulgarisant je me porte garant
Garantissant une larme coulissante ne s’éffassante par la plume d’une sainte

C’est une sorte de tristesse pleine d’ivresse qui ne cesse de s’accroitre
De s’adecoitre c’est une sphère spécial qui me donne tant de mal

Synchronisant la chronique je m’appercois que mes génétique ont perdu
Perdu dans l’amertume noyer dans le bitume d’une tumulte se nomant mutante
Une épouvante qui me hante depuis mon plus jeune age depuis mon arrivage
En tant que sage sur cette astre qui se restreint et qui ne devient un couffin
C’est une sorte de camisole ou je m’isole ne parlant qu’avec l’alcool
Qui me décompose par petite dose seule chose me guettant le malheur maltraitant
Je m’appelle Jeremy dont le cœur s’affaiblie dont la vie est fini comme une cicatrice
Nouvelle marque s’accouplant avec ma peau se prétendant correctement nouvelle
Je n’avoue simplement que ces voyelle sont incorrectes tellement cela penche penchan
Dans le vide m’ouvrant ses entrailles entre l’horreur ou l’enfer mais que faire
Un choix qui contiendra des contes contenant des lignes perceptibles
Mais de taille figible l’imcomprehensible devient une ame sensible
Sensiblement remarquablement les seconde s’ecoule et ma mélancolie ne s’estompe

C’est une sorte de tristesse pleine d’ivresse qui ne cesse de s’accroitre
De s’adecoitre c’est une sphère spécial qui me donne tant de mal

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