Mon clash te consume comme un join, tu meur a chaque taf,
Je voi que comence ta fin, tu croi avoir larage comme faf,
Pour ce meutre lyrical aucun témoin, mon rap te met des baf,
De ton sang j en a faim, pour te proteger t apele les staf,
Tu devien mon chien, tu parle plus mais aboi ouaf ouaf.
Tu veu savoir d ou je vien, dans le 94 val de marne qui fais mal,
Tu veu savoir d ou je provien, capital du rap et des represail,
Je te prend en un contre un, et mes rime perse t faille,
Dans le pera on t surnome katin, donc fau que tu t'en aille,
Ah ué mon frere t'est daltonien, depui taleur je te taille.
Tu te pren pour aladin, mais elle est ou jasmine,
Cette grosse tapin, comme toi mon lyrix voux pinne,