Dans le cirque, il y'a des singes, lion, chameau, aigles,pigeon....
Dresser sous l'arc d'un toit, par dessus, un draps formant un bec d'oie,
des saltimbanques aux femmes en satin,le sale teint des banques noircies leur joue,
raid... sur une corde,zigzaguant grâce à leur pied gluant,sous les hululements de la foule,
d'un oeil grain sinueux, le lion dans ça gage tourne en ron ronent,
les même tours chaque jours sous le chapiteaux,
les même foule,qui foule les vieux animaux devenu fou,
des fauves sous le chapiteaux,dansant aux bruit du pipeau;
deux chameau sur une plate-forme,tracter par une voiture au forme plate,
débarquant dans les rues,sous les regards des mioches encore propre,
les gens agglutiner, bouffi, pouffe et souffle des popcorn à moitié morne,
les femmes mouille devant le rugissement du lion,et les hommes singe l'indifférence,
quelque interférence entre le spectateur et les bêtes ,
les uns se confondent les autres se mor fonde,
et le bruit se fond dans la masse,
le regarde des bêtes se vide pendant que d'autre vide une bouteille ou deux;
Un homme penche ça tête à l'intérieur de la gueule du lion,
roule entre les dents et y plonge,
tantôt les plongeurs vole et vrille dans l'espace,
et les femmes en spasme danse autour des clown en slow,
gymnaste asthmatique côtoie les plongeur aquatique est plonge dans les cerveaux en feu.
La vie est un cirque,
en sommes des bêtes de foire,
sans foi,n'y loi,engrosse quelque tête,
spectateur,joueur en orgie oligarchique,
du vieux archaïque,aux boniment antique,
profitant fumant et jouant joliment de quelque saint-éthique*,
roulant de sein en sein,
je partirais, caravane sans frein chemin' se fraye un demain;