La france se réveille et les sans abris s'endorment
La société nous tire dessus à coup de boite de Pandore.

Éloigné des ravages et des yeux au couleur d'azur
J'écrivais le réel carnage de mes toutes premières mesures

Nous sommes obligé de vivre dans le mensonge et le mépris
A la lueur maussade des gosses aux visage assombri

La terre nous asphyxie avec du gaz lacrymogène
Respire cette air pur , bientôt nous manqueront d'oxygène

j'mapperçois qu'mon coeur s'déchire, tempis j'ai les membres en fil à coudre
On s'arrange pour pas tomber car c'est rare qu'les pays s'accoudent

L'homme se façonne ses propres idées et ses propres raison
Le bonheur en fin de compte n'est il qu'une illusion ?

La vie nous vend du rêve bien que le nombre de taff à ses limites
Les guerres marqueront des trêves , il faudra qu'tu restes optimiste

Les jouets s'animent comme des pantins de la société
Tu ne coures pas plus vite que temps mais faut accélérer

Un jour un homme à dit '' Faut plaidoyer pour la paix ''
Vu que le bonheur est difficile je te parle de ce monde divisée

Mon cerveau criblée de haine je vois la violence se rependre
J'ai l'esprit ailleurs mais mes lyrics sont des cendres

Il n'y a plus de sentiments d'un père pour sa famille
C'est dans les états du sud que la faim crie famine !

Ah cette religion merdique que l'on dit tolérante
Une vision flamboyante de la réalité de la france

Le paysan opprimé sa ne durera pas toujours
Le crime est un détour , vers la folie vers l'amour

La révolution en marche , qu'elle mauvaise couverture
La république nous salit , comme des déchets dans la nature

Comment ne pas voir la vie en noire devant cette âme au sol
Devant cette catastrophe on oublie les tristesses à l'alcool

Ils ont atteint leur limite comment réduire ses fractures
Au massacre des juifs laissant une éternelle blessure

Des inégalités à toute les échelles
La cruauté fait rage pour des petites querelles

On oublie jamais rien surtout quand on a eu mal.
Une mauvaise mentalité pour un pays dictatorial

On avance en silence et dans la méfiance du monde
Bordé le sacrifice pour des théories c'est immonde

C'est dans la seconde que j'ai connu la grâce d'écrire
C'est par la violence que les dégâts se feront sentir

La vie est comme une pièce de théâtre, chaqu'un peux jouer un rôle
La multitude de nos rêves dans le chaos de la métropole

A quoi bon protester vers un but invisible ?
Je marchais , je croyais tout réel , tout possible

Encore vivant , son voile sombre passe sur son visage
Perché sur mon pupitre observe les malheurs d'avantage

La terre , une sphère , une boule , puis un déchet
Le monde , le peuple va mal il faut s'accrocher

Je rédige dans la sombre nuit une brochure vitale
Qui rêve d'amour rêve de folie devant le mal sentimental

L'homme est fait pour accepter avec fierté les défis
Dans chaque round que tu passes rien ne frappe aussi fort que la vie