Sympa ça, ça change de ton style habituel !

Involontairement jai de plus en plus de mal a écrire de la poésie, la chose drôle avec l'impro c que c'est un espèce de marqueur de changement, j'ai pas appris plis de chose entre temps [en terme d'ecriture] ça se fait naturellement

Faut que je me penche sur ce que tu as écris mais jsui un gro flemmards quand il s'agit au autre sauf au écrivain mort

Haha te forces pas c'est pas important

sympa tout ça !

je toise dans mon blouson,
en chemin de croix j'croise dieu,
séquestré dans un salon d'opium;
la peuplade s’élève dans un brasier,
les porcs s'entre-baise,
béni les jours de divagation,
béni les jours ou ma bite s'irrigue bien;
quatre minute restant, perdu en pleine navigation,
vers d'autre contrée,
d'autre assiettes et chose à compter,
d'autre rêve, d'autre illusion,
la mers de toute les mères et salement amère hoohanhanhan,
épicurien,vaurien,re jeton d'un casino, j'ai fini tout droit dans une fente

Pas mal le dernier couplet !

"épicurien,vaurien,re jeton d'un casino, j'ai fini tout droit dans une fente"

J'irai deux trois pied tiré les cloches,
Dans les jardins éphémère je baignerai,crapoterai pépère,
Attendant le signe de ma fin, j'espère au moins, j'espère au moins;
Qu'une femme au seins de lune ira me voir de temps en temps. Fin

Môme y'avait cette piscine ronde,
L'eau rougit par le soleil, not'peau patauger dans;
Mais me souviens de ce père, qui nous regarder heureux,
Les gosses ça ressort quelque chose de bon en nous,
On grandi et deviens souvent dur, et sophistiqué.
On recherche dieu, on lis des choses sur dieu, mais ya pas besoin de chercher,
Ça devait être un poème, et lui peut être qu'ils devait plus être pour qu'on soit.

J'ai jamais rien compris, j'sent les choses, si les légumes tourne ça dégage une bonne odeur de merde, ba quand la vie tourne ça a la meme odeur, dieu lui doit avoir de quoi parfumé le monde de temps en temps...seulement.

descendant des nuages,
je longé les phalanges,
caressé les anges,
étrangeté de démon,
déchets organique;
je mimiqué médusé, usée,
trouée j'avais la panse bien garnie,
écris,vie sans réflexion, amène l'impulsion et du vide crée la vie

J'aime ces ruelles sombre ou aucune âme ne vie,
J'aime c'es ruelles vide ou aucune âme ne gît,
Dans ce silence même, l'univers tend au bout de mes vers.
Et je me fond, et m'enfonce dans ces ruelles nue,
vierge d'une nuit,avant que la clarté, ne viennent éclaté ma vue.
et je me fond, et m'enfonce, dans ce songe-men,
j'aime ces ruelles sombre ou aucune âme ne vie,
j'aime c'est ruelles vide.... ou le silence produit son plus beau.... son.

j'avais laver tant d'assiette,
entendu tant de conflit,
vue tant de chose,
grand sage que je suis,
j'ai oublié les fourchettes,les cuillères,
et pendant que mes couilles suée,
pendant qu'elle pendé badan pendante,
la penouille, m'arracha mon voca,et la buée,vivifié l'air

il était assis,confortablement devant son clavier,écran pardon, un verre de vin sur la gauche.
Une envie terrible de chier lui tirailler le ventre,voulant évité sa condition même, il continua d'écrire.
De courte seconde ricoché sur son crane rasé, il avait le mal du monde.
prenant une cigarette par si par la, humant l'air des rues devant chez lui.
Y'avait vraiment personne qui ne voulais n'être rien, rien qu'être la,devant chez eux.
quelque gorgé, attendant l'ultime illumination, que la création tombe du ciel et éclair les quelques âmes qui demain taff. Dans cette même routine espérant un jours, dépasser les règles, créer au delà de toute raison, créer des vers sans mots, des verres sans terre, boire sans verre, que des sornettes, pour une heure si tardive.

Pause chiotte, les fesses rivés sur la cuvettes,
La merde fait plouf, les assiettes glouglou,
Inspiration zéro, transpiration sur le front... Peut être que d'ici la bas, la plonge sera vide,
Y faudrait une source intarissable ou j'pourrais m'étendre et tendre les bras vers de b'eau saint.

Errance d'une enfance,
Ensoleillé au verre du père,
Ensoleillé au bleu des nuits;
Qu'il est loin, celui qui était,
Qu'il est proche, celui Qu'il hais:
Un manque de dieu,un manque de cieux,
Sous le quel, allongé l'on étend ses rêves sous un ciel...ensoleillé.Amen

Une fleurs sur un nenuphar

Sandwich après la baise,
Cendar après la braise,
J'éprouve ma foi...pascal,blaise;

Le monde de pandore, regorgent d'or,
Sucre d'or ge,ce fait baiser sur le pare-brise, en pleine orgie, la foule, en pleine effort, souffle les bougie.
La brise d'hiver m'a paise, je me saoul leve la veille, attendant que le soleil ce.... leve,
Papa dors, le boulot. la plombé.
Les porcs vite dorme, le coup et d'indolore,
Le cours et teinté, dors...
Dehors tout le Monde et zinzing et pour du zinc on te dézingue Zingue.

La guerre masaï dans mon esprit, m'assaille L'espoir...
Le diable me laisse choir, mon âme sur une balançoire.
L'alcool se noie,se déploie dans mes entrailles,
la foi et a n alizé,
C'est sur, c'est sur les champs Elysée ou les putes devraient tapiné.
Je n'est plus de haine, ma joie et, marginalisé, une éponge qui en magasine tout le fioul, j'aimerai finir ma vie dans un champs de coclico illico prestOH ohooho

J'suis devenu insensé, je parcours le monde....haine dans les veines,
j'erre dans mes plaine,le jardin d'éden et plein de plaie, putain.... d'play...station
J'suis sans blé censé ressemblé à qui, y'a rien d'acquis;
j'attends que le présent culbute le passé,
dans le présent j'la baise bien,en repensant à celle que j'ai retraversé,
être un en deux temps, hein, y'a pas de logique, comme cogité pour gratter des lignes.
je repasse le film, en pensant au passé, pendant que le présent me suspend,
j'attends que le passé, culbute le présent, j'erre dans les jardin d'éden, et mon cœur et plein de plaie,
putain d'station, j'play pu tain , j'erre dans mes plaine et me répète comme une putain catin.
pourquoi prendre le temps d'écrire, si l'temps d'chier, un gosse et déjà entrain de prendre ma place.

Le monde suis son cours,
de la bourse à mes couilles,
j'attends que le monde me bousille;
je lis, j'éternue, j'essuie, y'a pas encore de quoi en faire un bouquin
y'a pas encore de quoi en faire un boucan, j'y peut rien, si le talent n'y est pas.
on fait ce qu'on peut,être, peut-être bien que chacun y fait de son mieux,
chaque soir, j'suis nostalgique, je m'endors en position fœtus, attendant le moment ou j'ouvrirai les yeux.

Un cafard suspendu au plafond,
Mes mains raclé le fond de levier,
Reminéscence d'ancienne vie, rêve, que sais-je, en ce monde ?
Dieu siège loin des hommes, pourtant, au bord d'un océan,je perçois son étendu,
de mon existance perpétuelle, je me rappelle;
Les forêts verdoyantes ou elle nous emmener, du muquet,que je peine à ramasser,
De l'enfant sauvage, cherchant les rivières caché, avec mes frères,
Des oeuf volé dans les poulaillers, des caches caches interminable dans les champs de maïs,
Du soleil éclairant les herbes verte, caresser par le vent;
Je me souviens d'une vie, aujourd'hui je me souviens.
Le peu de sous n'avait pas d'importance,
Nous avions pour monde la nature.