Écoute ses craquement c’est le globe qui ce déchire
La planète est blessé gravement la nature ce déchaine
Ca déchante et moi je rap quant le monde part en vrille
On ce plein pour des mic mac sur’ment pas content d’être en vie
J’envenime les débats de ma plume a l’encre bile
On fait trop preuve de légèreté pour écrire au stylo bille
C’est d’un style oblique que les hommes ce font connaitre
On veux tous butter la colombe laisser au moins les Faucons naitre
Il faut reconnaitre ses erreurs sans déchirer le papier
Rien n’sert d’prier au Vatican peut importe si l’Pape y est
On perd la boule…c’est la terre qui nous quitte
On s’inquiète pour une migraine mais on s’en branle de s’qui nous guide
Alors on passe du sky au gin pour estomper le mal-être
L’alcool un coup d’boutoir dirigé sur les âmes triste
Tout ca m’attriste alors je pleur des larmes en palette
Un artiste je n’veux pas l’être j’suis simplement l’arriviste

Quant on perd le bonheur ont, d’mande un signe a Dieu
Des signaux d’peur sur papier mais on obtiens pas d’signature
On s’désigne un but… frapper la lucarne*
Mettre le bras au ciel, crier quand la lutte tarde
J’ai trop longtemps souffert, seul ou accompagné
Et que j’le veuille ou non sur moi ca compatis
Le décompte passe vite, j’t’assure ma fin est proche
Inondé par mes larmes mon cœur n’est pas étanche
Une bouée d’sauv’tage, voila ce qu’il me faut
Mais aucun marin m’vois masqué par tant de faute
Je tente d’être fort, comme Moïse et sa mer rouge
Avancer sans peur mais c’est sur les jantes que j’roule
J’déchante d’être comme… un ange démuni
Un gun voulant tuer mais n’possédant que des muns vides
C’est a l’instru qu’j’m’accroche et a ses notes de piano
Pourquoi me tendre le bras si on m’as poussé du pied gauche

Ce soir le tracas m’envahis…du coup ça va pas dans ma vie…
On m’a mis sur le carreau…j’ai mis une patate dans la vitre…
Je me fais un sang d’encre…donc sur cette page ya beaucoup d’rouge…
Beaucoup m’jugent…mais laissez moi avoir un gros coup d’blues…
Je finirais pendu au fil du temps…mort mais pas d’un coup…
Car crucifié par des gens…qui ne valaient pas un clou…
C’est toujours le même enjeu…se convaincre qu’on a pas changé
J’ai souvent tué le temps….mais il a fini par s’venger…
Faire le funambule sur le fil du temps…qui trop vite défile…
C’est de celui là qui s’agit…quand la vie tient qu’à un fil
Un ange m’a tendu la main…je lui ai dit vas t’faire…
Maintenant le diable me tend la sienne…mais pour un bras d’fer…
J’ai la tête qui tourne…j’attends que la roue en fasse de même
Même au bout du rouleau… j’ai jamais gratté des phases de merdes…
J’aime trop les rimes…mais peut être que j’ai trop écrit…
J’ai peur que ma mine tourne en rond …et pas qu’en géométrie…
J’ai besoin d’aire…un besoins de changé de périmètre…
C’est terrible mec…Plus rien ne me branche et je te parle pas de péritel…
Je voulais atteindre mes buts…je suis sorti sous les sifflets du stade…
Je me suis affiché…mais pourtant j’étais si prés du cadre…
A défaut de garder la pèche …j’avance perso je garde la balle …
Et ce soir je fais tomber le masque…comme un soir de carnaval…
Pour laver leur honneur…Ils sont tous prêt à salir ton nom…
Ils font leurs coups par derrière…rien qu’il s’prenne pour ton ombre…
On m'a dit d'resté droit...mais j'ai connu des beau coup tordu
Je me suis mis au tri selectif car entouré d’beaucoup d'ordures
Trop d’regard de haut…donc forcément trop d’paroles en l’air…
J’ai mis mes rêves au placard depuis que la juge y mis mon frère…
Fierté à outrance moi j’ai trop… l’vertige du haut de mon égo
Le bonheur c’est comme un sac…je me le suis mis à dos…
Je perd la foi et l’espoir …quand c’est en moi que j’ai décidé de croire …
C’est pas avec des balles à blanc…que j’pourai combattre mes idées noirs
J’ai essayé de me construire...mais ils me reste que les ruines quand tout s’effondre…
Si mes textes sont profond… c’est que je les écris quand je touche le fond…
Je viens pas du Bronx…les seuls blocks que je connais c’est ceux d’Tétris…
Et celui du chirurgien qui m’opère à cœur ouvert dans chacun d’mes textes tristes
Crois pas que ça m’atteind pas…c’est que je sais faire semblant…
Si l’écriture est magenta…c’est que je me suis fait un sang d’encre
J’ai réver de l’espoir…et me suis réveillé sachant que nous en avions pas…
J’avais la tête dans les nuages …mais je me suis pris un avion d’chasse…
J’ai voulu dealer des rêves…et je me suis fait coffrer par le marchand de sable…
Comdamné à la réalité… et il y a des décisions qui ne se marchandent pas…
Dans ce texte j’me donne en spectacle…rien à faire de ce que t’a beau dire…
Peut être trop émotif…le cœur sur la main…je me suis mis à m’applaudir…

Pour vivre au paradis, tu me verras même tenter le diable…
Car j’attendrais pas d’être mort pour vivre sur un petit nuage…

Gars j'veux pas être la nouvelle star, va l'dire a Dove Attia
Car ça m'dis rien d'donner mon cul pour que l'on m'ovationne
J'préfère être vrai et peu connu qu'être faux et célèbres
Façon pas l'temps pour ces castings ou tout autres essais libres
Certains attendent leur heure de gloire devant une pendule H.S
Comme ces p'tites putes à la télé … heureusement qu'j'ai perdu la chaine
Franchement j'ai pas vue la mienne* mais j'l'envisage mal comme aç
J'prefererais sauver mon peuple, genre à la Malcolm X
J'm'imagine mal comique et, j'suis pas d'ces pâle copie moi
Beaucoup m'ont laisser tomber, donc m'parler pas d'copinage
La vie de rêve poto, la nuit j'en rêve pas trop
Car dans ce monde de matérialiste, le gent-ar est l'patron
Nan, j'veux ressembler à personne, j'ai pas d'frère siamois
Rester vrai, c'est pas très dur, man j'le fais sciemment
Bref' j'veux pas qu'les gens m'sucent ou m'voit supérieur,
Nan, nan franchement c'est non merci, tu peux m'croire sur parole

Quant on perd le bonheur ont, d’mande un signe a Dieu
Des signaux d’peur sur papier mais on obtiens pas d’signature
On s’désigne un but… frapper la lucarne*
Mettre le bras au ciel, crier quand la lutte tarde
J’ai trop longtemps souffert, seul ou accompagné
Et que j’le veuille ou non sur moi ca compatis
Le décompte passe vite, j’t’assure ma fin est proche
Inondé par mes larmes mon cœur n’est pas étanche
Une bouée d’sauv’tage, voila ce qu’il me faut
Mais aucun marin m’vois masqué par tant de faute
Je tente d’être fort, comme Moïse et sa mer rouge
Avancer sans peur mais c’est sur les jantes que j’roule
J’déchante d’être comme… un ange démuni
Un gun voulant tuer mais n’possédant que des muns vides
C’est a l’instru qu’j’m’accroche et a ses notes de piano
Pourquoi me tendre le bras si on m’as poussé du pied gauche

"On a tous une soif d'amour qu'on a pas fini d'étancher
Certains la cachent puis s'isolent comme les soldats des tranchées//
Certains se lancent tout confiant ... heureux, tête baissée
Mais face aux dangers ... on finit peut être blessé !//
Pour Cupidon ... Certains ont une face d'étranger
Dans son registre des amoureux, on rêve tous d'être rangé !//
On veut tous trouver l'âme soeur, on veut tant goûter l'mystère
Mais à force de s'tromper ... certains finissent bouc émissaire !//
La pièce manquante de ton coeur t'empoisonne ...
Son absence t'emprisonne mais sa richesse te passionne !//
A la recherche du trésor, crois-moi j'ai tout fait
J'ai déjoué les mauvais sorts et finalement j'l'ai trouvé !//
Les lettres de son nom allument les flammes de mon inspi
Sa voix et son image ... résonnent dans mon esprit//
Assombris de nuages gris, parfois j'me sens aigri
Et quand ma joie maigrit, sa présence étouffe mes cris//
Ma belle ... J'te dédie ces écrits
Lorsque ma peine m'appelle t'es là pour contrer le mépris !//
J'ai appris à te connaitre ...
Dans ma vie t'es arrivé comme une comète
je n'avais aucun abri !//
Entre nous, c'est "Amour, bonheur et fidélité"
Te faire du mal ? ... Nan !! j'préfère éviter l'idée//
C'est en ton nom, que sous cette mélodie mes mots s'agitent
Je sais très bien qu'à tes côtés je n'serai jamais nostalgique"//

Soupirs captées, quand j'scrute les sourires cariés, d'une demi-lune,
J'veux qu'ma poitrine se déchire, que j'puisse respirer, juste 2 minutes.
J'use de mes nuits, à tenter d'arracher quelques pigments aux étoiles,
Pour les loger dans un cahier, usé comme un char d'étain face au C3.
J'suis cette bougie sans cire, sensible aux 16 sensés sortis d'saint syr,
Je suis comme une nuit sans cernes, sordide, sans souhaits sincères.
Des songes étreints dans un crâne étroit, entre la Ronce et la Rose,
Aujourd'hui, les rancœurs, en chœur, viennent poncer ma prose.
Si j'peux plus compter sur mes frères, j'compte sur mes sueurs,
Mes éclats d'rire, sont les résidus d'un miroir, pauvre en lueur.
Mais, je suis qu'un rappeur, moi, je veux mourir d'un concert,
Car j'sais que les bris de rêves, s'inverseront en bris de verre.
Ces bribes de vers, se confondent durement aux bruits divers,
L'emprise diffère, elles serinent, et se ruinent en brise d'Hiver.
Quand le crépuscule, vient pour découdre l'ombre des murailles,
Je constate que la ronce est une rose... ayant perdue ses pétales.

Un texte de plus C'est pas sur l'instru cramé de mobb deep
Maudis, désordre et taudie, dans ma bouche que des mots triste
Méthodique j'm'oblige à compté chaque parcelle de mon texte
Joue pas l'indompté, quand le Jack Daniel's est ton maitre
Le chat a mangé la souris et Gargamel chie bleu
J'éspère jamais voir ma famille à travers rifleu
J'suis prêt j'déballe même, si c'est que la demi lune
Mieux vaut perdre les pédales, que en d'venir une
J'croyait m'évadé mais j'faisait que des tours de pistes
tous despee, quand il s'agit d'chercher son double cheese
Le menu c'est shit et frite, en période de chaud ou froid
On a des problemes psychique qui pourrait faire chialé freud
J'ai vu des jeunes qui voient rouge sans suivre les règles
Et c'est avec le code pénal que nous on s'essuie les fesses
2:2, c'est mon âge pas mon arrondissement
pas d'monnaie sans trimé, et pas d'monde attendrissant
aiguise ma plume, ecrit de ma bulle
enleve moi l'rap et j'meurt, mais si j'meurt il n'existera plus
nique sa race si t'es l'vainqueur
Car la réussite est synonyme d'un passage au JT de 20h