le desespoir c'est comme une révision autres part qu'as midas//
sa peut te couter un bras ou plus,mais sa passe bien a l'image//
on veu au journal, du hard,des sales drames,des morts//
et entre deux boucherie,un gamin qui veu faire caca chez paul//

entre rire,larme et sniper,tirailler on veu vivre allieur//
dans de beau paysage,pas s'évieller au bruit des fusil mitrailleur
ici pas de guerre apart celle des nerf,et dans son fauteuil//
on voi qu'il se font du blés en afrique et sur le dos d'la faucheuse//

en france on a la grippe porcine,non c'est l'autre non du racisme//
en plus toucher par la crise,on se crois dans "plus cher la vie"//
l'amour est dans le pres (pret) les soucis aussi//
le banquier te rappelera que ta commis beaucoup d'idiocie//

la discrimination des andicapé a embauche étais inadmissible//
aujourd'huit c'est mieux,il te prenne si ton handicap n'est pas visible//
en le bien et le mal ta du mal a choisir or moi (j'préfere)//
avoir le coeur sur la main que du traffic d'organe//


j'en vien a me demander si c'est encore possible d'ètres humain//
alors on a compri que faire le mal pouvais faire du bien//
on crois pouvoir éviter l'addition,mais tout fraudeur//
vois son crime revenir comme un bomerang et détruire son bohneur



la violence se banalise,le sexe se banalise//
les jeune reve de tiré un coup avec pornstar ou une carabine//
certain hommes pense que les coup barre de fer forge le caractere//
les même qui batent leurs femmes,qui a sont l'amour comme a la guerre//

certain pére été absent a l'accouchemet, présent pour l'attouchement//
la violence engrenche la violence, l'amour engrenche la souffrance//
parfoit je me suis sentie merdique,alors que j'ai trop de chance//
pas comme cet employer d'orange pousser a faire le saut de l'ange//

faut passer a l'autres extreme,genre "une vie on en as qu'une//
alors on s'drogue on bois on fume,et abuse de nana conne//
tu crois que je m'érrige en victime,mais je dois te dire que ta tord//
je suis concient d'etres un coupable,que parfoit le vice me racolle//

mais jamais il me rapportte, t'sais, mais moi les corp à corp//
m'écoeure, sauf ceux sexuel, protéger, avec mi amor//
mes erreur m'ont fatiguer,et la vie m'as trop berner//
je fuis les soucis pour par finir comme mes yeux cerner//



la grippe A, la bombe h,la fin calendrier incas//
dans la bouche des homme de pouvoir le monde encore moins simpa//
on passe notre vie a payer les pot cassé, des detes et des facture//
pendant qu'il se bat pour etres les premiers a poluer la lune//

ik-are c'est bien beau tout sa, mais a quoi sa sert//
a faire prendre concience même si sa sort pas des crabatere//
et voir les gens agir, sa me ravie pas//
car la solution au probleme et souvent final ou radical//

trop de gens se prenne pour des hero,mais le font par profit//
avant de changer le monde change ta solidarité attrofier//
car si on s'entraide pas, on pourra pas tenir//
dur de faire face au autres si même tes partenaire fini par te nuir//

moi j'ai dis se que j'avais a dire, sur ce désodre immense//
et pour montrer mon chagrin, je laisse de meuz de silence//