!!! Il est important de tout lire avant de dire que je prône la haine. !!!
(au cas certains indignés railleraient avant la totale lecture)
Skin Burden
Le soleil s'est levé sur ma pauvre France,
toujours plus de métèques pour polluer ses effets.
Au dessous, monsieur Fadera et sa gueule crépue ;
moi, ma France est née pâle d'un sourire bien français.
On ne trouve pas un homme dans le nord de ma ville,
tout honneur a lâché ces pavés qui s'affaissent.
Des tantes à tronches d'enfoncés et des crasses bien kabyles,
car la monnaie des singes plane sur tout Barbès.
Dans ma patrimobile, j'en ai plein les narines ;
l'ennemi est logé, on sent d'ici son Marais.
Vite, étrangler le pédé sur le pied des quais,
je me payes des têtes à l'orée des Dauphines.
J'ai un surin en poche pour égorger le youpin
et ma paire de docs pour tordre une colonne ou deux.
Je suis sur le brise-tête, franc et droit pour demain,
car l'avenir de ma Patrie, ça n'est pas un jeu.
Ce soir, le soleil s'est couché sur Paris,
une poignée de babouins, avec batte à la patte.
Je suis bien abîmé, ils m'ont pété les pattes,
une caisse pour l'hosto, au volant : une certaine Akri.
Sans mes jambes impeccables, j'ai vraiment l'air d'un chien ;
je l'observe, elle n'est pas si laide pour une berbère.
Mais pourquoi diable cette femme m'a t-elle tendu la main ?
"Aurais-tu préféré que je te laisse à terre ?"