Seul et contre tous
Tous contre moi
Mon allié me touche
Tout contre moi
Mes pensées par ma bouche
Ne s’en iront pas
Moins que rien et la frousse
Ne me regarde pas
Innocent, là je louche
Entre espoir et verglas
Remplissez moi de fourches
Je serais fort pourquoi pas
Sublime victime à l’infirme
Faute d’avoir oublié
Le temps pleure et confirme
Elle mime fine et fâchée
La souffrance me confirme
Elle mime frime et lâcheté
Etincelle si réelle
L’amour réssuscite
Du bonheur moins charnel
La courte réussite
Noyé dans son regard
La rose noire de l’amour
Prier le faux départ
La prose noire pour toujours
Des lames de rasoir plein la bouche
Salir d'injures je te touche
La violence me pousserait à la faute
Sans savoir la décadence aussi haute
Transcender ma voilence
Pour l'accoutumance
Virilité puérile où la transe
Le métal ma jouissance
Le malêtre, la peur, l'adrénaline et un peu d'aspirine
Ma haine et ma violence
Compact est la décadence
Le métal, ma brûlure
J'entre dans ma sépulture
Etincelle si réelle
L’amour réssuscite
Du bonheur moins charnel
La courte réussite
Noyé dans son regard
La rose noire de l’amour
Prier le faux départ
La prose noire pour toujours.
Chaque désir sans espoir
Sans vie ni devoir
De l'ennui plus qu'il n'en faut
Les rêves sont usés et font défaut
L'imagination sans avenir
Ca parrait original de se trahir
Sombrer dans le vide
Pour survivre dans le fond
Ma haine et ma violance
Compact est la décadence